LES OREILLES PLEINES DE VENT.
Dans les sentiers
que bordent,
derrière les murets moussus,
les prunelliers
aux griffes noires,
notes sombres
sur leurs partitions,
les béloces blettes,
scandent l'hiver
un-deux.
Noir, jaune,
parcheminé
sur l'argile battue,
s'expose
un cadavre de Triton
que Nature a tanné.
Dans les près
que Tempête a peigné
du fumier fume.
Sa senteur
s'expatrie
dans le Nordet
vers Alderney
dire merdre
aux anglais.
la "HURETTE DU GRAND HEU"
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